Les champs

Il l'embrassa sur le front et recolla ses lèvres avec les douce lèvres d'Isabella.

Isabella l'embrassa avec fougue et l'emnlaça. Les lèvres de Lorien goutait bon. Il lui semblait être beaucoup plus en amour que lorsqu'elle vait rencontrer Olidamara.

Il lui dit entre deux baiser :

-Je comprend maintenant mon sentiment, sa s'appel l'amour! Et je suis heureux de devenir un chevalier tout comme toi, nous pourrons donc ainsi se battre côte à côte et je pourrai enfin te prouver ma valeur.

- Tu me l'as déjà fortement prouvé. Je sais que tu es un homme valeureux jusqu'au plus profond de mon être.
Elle l'embrassa encore.

-Je te remercie. Il la réembrassa de plus belle.

Elle se serra tout contre lui.
- Si on poursuvais notre ballade?

il l'enlaça et la souleva de terre dans ses bras comme de jeune marié qui vont au lit pour la première fois. Il la promena ainsi jusqu'a se qu'elle finisse par se débattre, si elle le faisait un jour.

Isabella se laissa faire. Elle passa ses bras autour de son cou et le becota dans le cou.
- Ou m'enmènes tu?

-À vrai dire, je n'en sait rien... C'est juste que j'aime vous prendre dans mes bras.

- Moi aussi j'aime quand tu me prend dans tes bras!. `Retournons au château, il commence à se faire tard.

Il se mit des jambes de guépard et, le dos légèrement vouté, parti en sprint ver la grande bâtisse de pierres ou avait jadis vut le jour son grand-père enfanter par Kira et Sage d'Émeraude.

Myndy marcha longtemps. Elle ateignit des champs. Elle aurait aimé demander où elle était, qui elle était, mais personne n'était là. Elle vit à l'horizon un château.
-Ah là il va y avoir du monde!
Elle marcha jusqu'au château.

Charles ce téléoorta sur uen route démeraude. Avec ses vêtement sale il avait l'air d'un voyageur. En fait, il en était un, avec le voyage qu'il avait fait entre Irianeth et ici! Il avança rapidement et se dirigea vers le château d'émeraude où il avait l'intention de demander hospitalité. Il se répétait sa fausse histoire dans sa tête pour être sur de ne pas se tromper.

Charles et Alexia se promenait sur le chemin de camapgne. L'air sentait bon et les champs étaient agités pas la douce brise.