Sous le saule

Farwen entra dans les jardins et vit un immense saule qui ornait les abords d'un petit étang. Elle guida Mitsuko jusqu'au pied de cette arbre. Là, elles s'assirent.
-ça te plait comme endroit?

Mitsuko regarda les environs.
-C'est merveilleux comme endroit!
Elles regardèrent en silence le paysage, puis Mitsuko entama la conversation:
-Alors, est-ce que ton chez-toi te manque?

Isabella qui avait repérer ses soeur d'armes dans les jardins vint à leu rencontre.
- Comment allé vous, Aujourd'hui.

Elle s<'assit tout comme elles, sous le saule.

Farwen soupira.
-Tu veux savoir la vérité? Pas vraiment. Il y a seulement ma mère dont je m'ennuie. J'ai détesté ma maison. Elle tombait en morceau! On n'avait pas assez d'argents pour déménager. Aucunes de mes amies ne voulaient venir. Mais quand même, j'y ai passé une enfance merveilleuse! Ma mère faisait de son mieux pour pouvoir me nourrir. Elle travaillait très fort, ça je peux te le dire. Aussitôt que j'ai eu l'âge d'aller dans des champs, je me retrouvais à quatre pattes pour ramasser des légumes. Et toi? Est-ce que tu t'ennuies?

-Bonjour Isabella!
Farwen avait toujours eu de l'admiration pour cette femme.

- Je vois que vous discuter de vos familles.
Isabella resta pensive. Jamais, elle n'avait eu le problème de s'ennuer. Ses parents étaient toujours tout près. Il l'avait surtout sur-protéger.
- Je me demande se que sa fait, murmura-t-elle.

Mitsuko sourit à Isabella.
-Ça va bien, merci. Et toi?
Puis elle répondit à Farwen:
-Je m'ennuie terriblement de mon père et de mon frère. Ils me manquent! Quelques fois, j'ai voulu prendre un cheval et aller les voir. Et mon chat! Est-il encore vivant? J'en doute...
Une larme roula sur sa joue.

Farwen enlaca son amie.
-ne pleure pas! je suis sûre que tu vas les revoir et que ton petit chat est vivant!
farwen se tourna vers Isabella.
-Comment allez-vous?

Isabella éclata de rire!
- Voyons combien de fois je t'ai dit de ne pas me vouvoyer. Nous sommes toute deux chevaliers et égaux. Tu es mon amie. Imagine la sensation que sa fait de se faire vouvoyer par son amie!

Elle enlaça Mitsuko pour la réconforter. Elle sentait un pincement au fond de son âme.

Elle se tourna vers sa soeur d'armes.
-Merci, souffla-t-elle.
Elle s'accôta sur l'arbre et pensa à sa famille et amis.

-Bon, les filles, parleons de choses plus joyeuses! Comme...
Pensive, Farwen se gratte le menton. Après quelles secondes, elle se tourna vers ses soeurs d'armes.
-Vous voulez parler de quoi?

Tirée de sa réflexion par la question de Farwen, elle répondit:
-Et bien on pourrait parler de... euh...
Elle se gratta le fond de la tête, puis s'exclama:
-On pourrait parler des futurs chevaliers! Oui!

-De missions futures!! s'exclama Isabella enthousiasme
Elle s'imaginait déjà combattant des dragon et des homme-inseste au commande d'une armé de chevalier magicien.

-Ne me répondez pas toutes en même temps! Je m'imagine battant contre des dragons et des insectes! Tant que se ne soit pas des araignées. J'ai HORREUR des arraignées!

Mitsuko s'exclaffa devant le visage rêveur d'Isabella.
-Tu vois les choses de loin! Nous ne sommes que sept, et ça me surprendrait qu'on vienne à bout d'une armée maintenant. Et ça prendra plutôt un moment avant de devenir un plus grand nombre.

-mais il ne faut pas se fier aux apparences, ma chère. Elles sont parfois trompeuses!!!
farwen ne put elle non plus, se retenir devant le visage rêveur de Isabella. Elle éclata de rire.

- Cessez de rire de moi, il faut avoir des ambitions dans la vie!
Elle fit lévité quelques gouttes d'eau de l'étang et en aspergea ses amies.

Mitsuko demanda avec vigueur, tout en renvoyant les gouttes d'eau à Isabella:
-Comment pensez-vous vous débrouiller avec des écuyers à vos côtés? Moi, j'avais de la difficulté à supporter avec mon frère, alors un presque parfait inconnu, je sens que je ne m'en sortirai jamais!

- Moi j'ai vraiment hâte! J'adore les enfants. Ce sera une expérience enréchissante.
Isabella songea au beau moment qu'elle passerait avec des écuyers sous sa tutelle.
Au lieu de renvoyer de simple goutte d'eau à Mitsuko, elle envoya la quantité d'un verre d'eau, plus un nenuphar.

Farwen essuia son (hj: beau hihi) visage de l'eau que Isabella lui avait envoyé.
-je ne sais pas. Je n'ai jamais eu de frères ou de soeurs. Tu n'as qu'à faire ça.
Farwen fit léviter une poignée de bouette (je ne sais pas comment dire ca autrement) et la lanca dans le visage de Isabella. Elle éclata de rire.

-Hey! N'oublie pas que je suis plus forte que toi à ce jeu!
Elle essaya de soulever l'eau de l'étang au complet; mais alors qu'elle faisait léviter l'eau au-dessus d'elle, la moitié tomba sur elle, faute de force, mais elle réussit tout de même à faire tomber l'autre moitié sur Isabella.

Isabella fit mine d'être indignée.
- Comment ose tu...
Elle se jetta sur sa soeur d'arme et la poussa dans la mare. Même si dans son élan elle se retrouva elle aussi les fesse dans l'eau. Isabella empoigna Mitsuko et la tira dans l'eau elle aussi.

hj: jdois i aller.

Farwen réussit à sortir de cette situation et partit en courant vers le château.

( salle de bains)

Mitsuko cria à l'adresse de Farwen:
-Hey! Attends-moi!
Elle réussi à sortir de la poigne d'Isabella et laissa seule derrière elle sa soeur d'armes qui sortait de la mare.

( salle de bains)

Laisser seule par ses amies, Isabella éclata de rire devant leur réaction.
** poules mouillées** leur dit-elles par télépathie.
Elle se leva. Ce n'était peut-être pas une si bonne idée de me jeter à l'eau.
La princesse était complètement mouillés. Chacun de ses pas faisait squash squash.
Elle s'étendit au soleil couchant pour se faire sécher.

Le lendemain matin, elle se réveilla toute surprise par les premiers rayon ardents du soleil. Isabella s'était endormit dehors. Elle se leva, endorlorie, et quitta les jardins.

Prochain post: salle de bains des filles

Malgré le soleil radieux, Mitsuko fut quand même capable de voir les quelques traces d'eau minimes où s'était couché Isabella. Elle s'esclaffa à l'idée de voir son amie dormir, en petite boule, près du grand saule. Mitsuko s'assit près de l'énorme arbre et se trempa les pieds dans la mare. Cela fit un énorme contraste entre l'eau chaude du bain et celle, froide, du petit étang.